Alors que nous Ă©tions Ă la recherche de 2 courts libres pour une expĂ©rience tennistique avec les copains, nous sommes tout dâabord tombĂ©s sur 2 terrains dâune mĂ©diocritĂ© proche de lâincorrect. Ils nous auraient largement suffit dans la mesure oĂč lâexpĂ©rience aurait Ă©tĂ© gratuite. Cependant ces terrains Ă©taient Ă©tonnamment clos. Dans notre quĂȘte dĂ©sespĂ©rĂ©e nous poursuivĂźmes notre chemin Ă la vue de 2 terrains bleu azurs qui semblaient adĂ©quats avec notre dessein. Nous dĂ©chantĂąmes hĂątivement lorsque nous fĂźmes face Ă clĂŽture close. Rapidement nous comprĂźmes quâil faudrait sortir Ă©cus de sa poche afin de disposer gracieusement du lieu de nos joies. Nous rencontrĂąmes une jocrisse qui a premiĂšre vue semblait altruiste mais trĂšs proche de ses deniers. Lâidylle vira au cauchemar, semblable Ă la dĂ©chĂ©ance de Benoit Paire dans le classement mondial. Nous payĂąmes comme prĂ©supposĂ©, mais Ă notre grand Ă©tonnement elle nous somma de respectĂ© la loi « municipale » alors mĂȘme que nous nâavions enfreint aucune rĂšgles. Cela nâĂ©tait point trĂšs commode.
Tout de mĂȘme le moment fĂ»t agrĂ©able malgrĂ© les divers aller-retours de la mĂ©crĂ©ante qui nous faisait nous sentir observĂ©s et surveillĂ©s.
En somme, le sentiment que nous souhaitons transmettre est la dĂ©solation vis Ă vis de lâabsence de terrains disponibles pour tous : consĂ©quence de la prise en otage des pauvres courts de tennis par les clubs qui requiĂšrent un investissement financier consĂ©quent pour en disposer.
Ps : lâaccueil nâĂ©tait vreuuuumant pas trĂšs chaleureux